Ton unique défaut fut d’écrire en latin,
Cette littérature est certes magnifique,
Mais depuis le français à pris rôle mythique,
D’amener l’art d’écrire sur le mont Palatin.
Cependant quel lecteur voudrait te voir périr ?
Alors que de ton temps et même de l’au-delà,
Tu fus être immortel que cela plaise, ou pas,
A l’auguste empereur qui osa te bannir.
Mais la postérité préserva tes écrits,
Maintenant la culture apprend tes manuscrits.
Et de ta chère plume, en sommes-nous avides ?
Tes oeuvres apportèrent une eau pour s’abreuver,
Car tu es l’écrivain par la Muse inspiré,
Désormais constatons le monde d’une eau vide.
L. Cohen