Comme il faut en finir, faisons-le en beauté,
Ô vous, grand écrivain, à l’oeuvre magnifique,
Hautement riche en vers et au sujet mythique,
Et aimant être lu, mais au second degré.
Nul autre égalerait, ni vous, ni votre plume,
Les pauvres médisants abattront leur courroux,
Impulsifs voire idiots et peut-être jaloux,
Mais à vous d’accepter la médiocre amertume.
Moise est votre pièce, écrite avec talent,
Ô toi, duo tragique, et tes enseignements,
Rassurons précepteurs, ce n’est que la première,
Tout dramaturge aspire à être l’héritier,
Et si vous fûtes quiets, soyez-en rassurés,
L’immortel, le Cohen, saura vous rendre fiers.
L. Cohen