Comme il faut en finir, faisons-le en beauté, Ô vous, grand écrivain, à l'oeuvre magnifique, Hautement riche en vers et au sujet mythique, Et aimant être lu, mais au second degré.
Immort’L – Les futuristes
Avec ton écriture à l'encre ensanglantée, Tes textes de cités à l'odeur du bitume, Car tu es la personne incarnant cette plume, Que les conservateurs aiment à critiquer.
Immort’L – Les faux-monnayeurs
Vous fîtes bien semblant d'être cet homme honnête, Luttant pour la justice et pour les démunis, Mais faut-il rappeler la splendide ironie, De ces viles actions sans peine ainsi faites.
Immort’L – Le moderne
Sous le pont Mirabeau, au-dessus de la Seine, Où chaque parisien y passe promptement, Sans penser au poème le rendant monument, De la belle Paris, faut-il qu'ils s'en souviennent ?
Immort’L – Le voyageur
Comment boire son thé sans penser au roman, Et ce passage clef (Margaux) quel doux supplice, De connaitre un voyage et cela comme Ulysse, Parmi les temps perdus des jours adolescents;
Immort’L – Le précurseur
De cette belle langue ainsi que tes poèmes, Tu montras l'importance à travers tes travaux, Car grec comme latin, sont tous deux ses rivaux, Mais seul le beau français la littérature aime.